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mardi 30 septembre 2008
Zeiss pour Canon
Enfin des optiques Zeiss chez Canon
Canon de son coté annonce un 24mm/1,4 avec un nouveau taitement de surface des lentilles pour diminuer le flare.
Maintenant les photographes Canon amateurs de bonnes optiques vont devoir prendre l'habitude de comparer avant de se jeter sur une nouvelle annonce Canon. A mon avis ce sera très utile entre ces 2 optiques.
Guide de photo
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Des caractéristiques techniques des appareils jusqu'à la composition des photos, le guide complet de la photo numérique dévoile non seulement les avantages et les pièges de la photographie numérique mais vous fournit également tout le savoir-faire théorique et pratique nécessaire pour réussir vos photos. | |
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Sommaire
Des accessoires pratiques |
samedi 27 septembre 2008
Hasselblad
Hasselblad H3DII-50 et 60, 50 et 60 megapixels ...
Hasselblad H3DII-50 et 60, 50 et 60 megapixels ...
Le H3DII-50 est destiné à répondre aux exigences des photographes professionnels qui demandent le meilleur en termes de qualité d’image et de performance.
Le système H3DII-50 produit les fichiers les plus détaillés et avec un maximum de résolution :
- Fichiers de 300 MB
- Plus de liberté créative pour recadrer et retravailler vos images
- Potentiel d’agrandissement incroyable
- Moins de moiré
- Un taux de capture plus rapide
- ISO 50 à ISO 400
- ISO 800 quand vous utilisez le logiciel Phocus
- Accès à tous les objectifs du système H
jeudi 25 septembre 2008
Le mondial de la photo
mercredi 24 septembre 2008
Exposition de photos à Québec
Québec et ses photographes, 1850-1908 Jusqu’au 4 janvier 2009 à Québec Par : [23-09-2008] |
Cet automne le Musée national des beaux-arts vous invite à découvrir l’art de l’intime : l’art de la photographie. Admirez une sélection de plus de 400 photo exceptionnelles, issues de l’impressionnante collection d’Yves Beauregard, qui dressent un panorama de la Vieille Capitale et de ses habitants de 850 à 1908. À voir, entre autres, de belles images des quais de la ville, avec des bateaux, tels qu’ils étaient au 19e siècle. Dans la salle 9 du Pavillon Charles-Baillargé, Musée national des beaux-arts du Québec. www.mnba.qc.ca Crédit: fugues.com |
mardi 23 septembre 2008
Photoshop CS4
Canon Digital Learning Center - Sample Video: EOS 5D Mark II
lundi 22 septembre 2008
À lire
Harley FL 1951, icône de la photographie contemporaine
Robert Frank a l'oeil dit Jack Kerouac dans l'introduction pour ce livre phare de la photographie contemporaine qu'est «The Americans». Publié pour la première fois il y a 50 ans, en 1958 en France par Robert Delpire, Steidl vient de le re publier pour accompagner l'expo qui se promène un peu partout en ce moment.
J'ai reçu le livre cette semaine, et même s'il ne contient que deux images où apparaît une moto, celle illustrée ci-contre a une belle histoire.
Robert Frank terminait son périple de plusieurs mois quand il prit cette image à Indianapolis de ce couple sur une Harley Davidson FL de 1951. Le couple ne vit pas cet homme qui prit une de ses 28,000 photos à ce moment-là, pas plus que le photographe ne s'intéressa à eux plus que l'instant requis pour voir et appuyer sur le déclencheur.
Mais il y a 3 mois, le Indianapolis Star, un quotidien local, reproduisait l'image dans son édition du dimanche pour souligner la venue de l'expo de Robert Frank dans leur ville. Telester Smiley, la passagère fut reconnue par des amies, et maintenant son histoire fait le tour du monde. Elle et son mari Matthew participaient à un rallye de leur club de moto quand le photographe les immortalisa, le regard tourné vers un objet ou événement hors cadre. Telester n'était pas une motarde aguerrie et n'accompagnait son mari qu'a l'occasion, mais Matthew Smiley ne ratait pas une sortie, et plusieurs photographies encore en possession de Telester, montre Mack, comme il était affectueusement surnommé, sur sa HD qu'il chérissait. Mack Smiley est décédé en 1996 à l'âge de 69 ans.
La FL était la plus grosse Harley à l'époque et équipait bon nombre de corps de police avec des versions légèrement modifiées et adaptées.
dimanche 21 septembre 2008
samedi 20 septembre 2008
Intéressant pour la journée sans voiture
Séance de photographie artistique avec Mozaïk humaine
par Marie-Eve BouchardVoir tous les articles de Marie-Eve Bouchard
Article mis en ligne le 19 septembre 2008 à 11:31
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Crédit: Info07.com
vendredi 19 septembre 2008
La retouche
Culture de la retouche
Par André Gunthert, vendredi 19 septembre 2008 à 12:00 (358 vues, permalink, rss co) :: En images
L'adaptation des sensibilités à la nouvelle configuration de l'image numérique est d'une étonnante rapidité. Alors qu'il y a moins de dix ans, le principe classique de l'intangibilité de la photographie régnait encore en maître, une nouvelle culture de la retouche est en train d'apparaître.
Résumons. Si le cinéma avait admis dès ses origines l'interaction des facultés descriptives de l'enregistrement avec la manipulation des images, la théorie photographique a au contraire maintenu avec force la fiction du "sans retouche"[1]. Appuyés sur le mythe de l'objectivité photographique, les usages de l'image dans la presse ont construit une longue tradition de dénégation de la réalité des accommodements techniques ou décoratifs mobilisés. A l'aube du XXIe siècle, alors que les images numériques envahissaient les écrans, le public disposait d'une vaste culture de la manipulation des images au cinéma – et d'aucune ressource interprétative en matière de retouche photographique, mis à part le déni de sa pratique.
Comment faire face à un monde d'images où règne Photoshop? Plutôt que de sombrer dans la défiance généralisée postulée par les théoriciens du visuel, les usagers sont en train de créer les points de repère dont ils ont besoin. Après le coup d'envoi de "Dove Evolution", des milliers de vidéos sur Youtube sont venues documenter, de façon ludique ou sérieuse, la vaste gamme d'interventions des logiciels de traitement d'images. L'acclimatation aux usages de la manipulation a déjà ses classiques, comme le site PhotoshopDisasters qui, en affichant avec gourmandise les fautes les plus flagrantes de maquettistes trop pressés, témoigne de l'omniprésence de la retouche dans l'univers médiatique.
Mais la vigilance a ses limites. L'examen des cas répertoriés par le site montre aussi que l'intervention n'est pas si facile à détecter: elle n'apparaît que dans quelques situations typiques, tout particulièrement en cas d'erreur ou d'oubli manifeste – ce qu'on pourrait appeler des coquilles visuelles. Plus intéressant encore est le fait d'interpréter comme une retouche une image qui n'a fait l'objet d'aucune manipulation. Tel est le cas d'une photographie de Phil Mickelson et Tiger Woods (Stuart Franklin, Getty Images) publiée par le Washington Post le 12 juin 2008, épinglée par PhotoshopDisasters comme un montage maladroit de deux images.
En procédant à un examen plus attentif de l'original, Mike Johnston, sur le blog The Online Photographer, montre que cette impression est le résultat d'une illusion d'optique due au positionnement et au cadrage. Là encore, les apparences sont trompeuses. Ainsi s'élaborent les outils interprétatifs d'une culture de la retouche – autre manifestation de la convergence qui rapproche chaque jour un peu plus la photo du cinéma.
Notes
[1] Voir mon article: "Sans retouche. Histoire d'un mythe photographique", Etudes photographiques, n° 22, octobre 2008.
Tags: illustration, photo digitale, photojournalisme, pratiques, retouche
Une autre annonce pour Canon
Canon Powershot G10
Successeur du PowerShot G9, le Canon G10 répond à une critique faite par les experts qui pouvaient être intéressés par un petit compact performant : celui du manque d’un grand-angle puisque le G9 commençait sa plage de focale à 35 mm. Le zoom du G10 est désormais un 28-140 mm stabilisé.
Le Canon Powershot G10 actualise donc le G9 en comblant cette lacune mais pas seulement puisqu’il embarque un nouveau capteur de 14.7 MP 1/1.7“.
Le DIGIC IV, en plus d’améliorer la qualité d’image (il faudra évidemment juger sur pièces) permet d’apporter son lot de nouvelles fonctionnalités par rapport au G9 : fontion dite i-Contraste de détection et d'analyse de contraste qui augmente encore la plage dynamique des images pour une meilleure gestions des contrastes et une préservation des hautes et basses lumières, ou la fonction détection de visages AF avec suivi du sujet.
Signe qu’il s’adresse au experts, le canon G10 dispose d’un mode raw et sera compatible avec le logiciel de dématriçage qui gère les reflex, Canon Digital Photo Professional.
Principales spécifications :
- Capteur CCD 1/1,7'' de 14,7 millions de pixels
- DIGIC 4
- Sensibilité : 80 - 1600 ISO
- Zoom : 6,1 - 30,5 mm (équivalent en 24x36 : 28-140 mm) f/2,8-4,5 Mise au point : Détection de visages, AF monopoint (toute position, fixe au centre ou sélection et suivi d’un visage. Modes de prise de vue : vue par vue, continu, Servo AF (suivi de sujet).
- Exposition : Évaluative (couplée à la fonction de détection de visages), moyenne à prédominance centrale, spot (au centre ou couplée à la fonction de détection de visages ou au cadre FlexiZone)
- Obturateur : 15 - 1/4000 s
- Viseur optique
- Écran LCD : Écran TFT LCD II de type PureColor 3 pouces (7,6 cm), environ 461.000 points
- Interface : USB, sortie vidéo Alimentation : Batterie Li-ion rechargeable NB-7L
- Dimensions / poids : 109,1 x 77,7 x 45,9 mm / 350 g
mercredi 17 septembre 2008
Canon sa dernière offre
Canon 5d mark II : un appareil pour photoreporter ?
Le Canon Eos 5d mark II fait entrer le monde la vidéo dans celui du reflex expert pro et ce avec une vidéo performante puique'on parle de Video Full HD (1.080 x 1.920 pixels en format .Mov264) avec Autofocus par détection de contraste.
L'amteur photographe peut s'étonner de cette hybridité, et percevoir la vidéo comme un gadget. A y ergarder de plus près l'intégration du mode vidéo peut être un indice d'une cible privilégiée de Canon avec ce nouveau boîtier.
En effet, qu'est-ce que le Canon 5d mark II :
- un appareil à peu près tropicalisé et bénéficiant en tout d'un système antipoussière, le tout dans un boitier assez compact pour sa gamme (disons par rapport aux 1d/1ds et canon d3) puisque leCanon pèse 810 gr pour ses 152x114x75mm
- un appareil à la cadence honorable de 3.8i/s : franchement à part le photographe de sport ou animalier qui utilise beaucoup les 8i/s
- un appareil qui en reportage permettra de faire de la photo et de la vidéo : une fois l’enregistrement vidéo activé à partir du mode de visée par l’écran, le photographe peut continuer à prendre des photos en vue par vue ou en continu, l’enregistrement vidéo reprenant automatiquement après l’acquisition des photos.
- Un appareil qui dispose du Live View, ce qui sur le terrain peut se révler intéressant.
- Un appareil qui par ses hautes sensibilités, permet de photographier en basses lumières
En somme, le Canon 5d mark II se présente comme un appareil qui intéressera par sa compacité et sa polyvalence, les photoreporters et même les reporters de mariage, qui n'avaient pas envie de s'encombrer d'un appreil plus gros.
Comparaison Canon Nikon et Sony
Canon 5d mark II : prix et disponibilité? et comparatif...
Avec ses caractéristiques, le Canon EOS 5D Mark II se situe dans le segment de marché qui vient d’être occupé par les Nikon D700, Nikon D3 et Sony Alpha 900 (Sony A900) : capteur Full Frame, hautes sensibilités, boîtiers solides nettoyage capteur, écran 3" 920 000 pixels, notamment.
Où peut-on le situer en l’état actuel des offres sur le terrain du rapport qualité prix : le Canon 5D MK II est annoncé comme disponible à partir de la fin du mois de Novembre 2008 au prix officiel de 2899 Euros TTC et de 3899 euros TTC en kit avec le 24-105 f/4 L IS.
Le Nikon D700 était annoncé à 2700 euros ; il se trouve en ce moment au tarif de 2400-2500 euros en moyenne. Mais avec ses 12 MP, il peut sembler désormais en concurrence moins frontale avec le nouveau Canon Eos 5d mk II (il garde notamment l’avantage de la cadence).
Le Nikon D3, grand frère, du D700 conserve pour lui son viseur 100 %, la construction supérieure, son ergonomie, sa cadence, et peut-être encore sa qualité d’image au dessus de 3200 iso (la densité de pixels jouant contre le bruit). Il se trouve à 4000-4200 euros. Mais le canon 5d mk IIrattrape son retard en terme de construction, gagne le match de la définition, et possède l’atout (qui pourra sembler superflu à certain de la vidéo HD avec AF)
Le Sony Alpha 900 (A900), dernier né, et nouveau fleuron de la gamme Sony qui a marqué par ses caractéristiques ambitieuses est le concurrent le plus sérieux de ce Canon 5d mark II : son capteur de 24 MP, son viseur 100 % (avec un beau coefficient de grossissement), sa construction, et sa stabilisation du capteur, sont de sérieux atouts qui peuvent le faire préférer au canon 5d mark II ; mais ce dernier fera valoir des possibilités sur lesquelles Sony a fait l’impasse, à savoir vidéo et Live View. Concluons que la concurrence ne sera pas complètement frontale même si les appareils ont des caractéristiques proches
Restent les positionnement des Canon Eos 1ds mark III et 1d mark III : le second garde pour lui la cadence et une construction meilleure… ; le premier, évidemment, bénéficie d’une finition bien supérieure à celle du 5d, pourra faire valoir son viseur 100 % et sa cadence ; néanmoins avec la sortie du Sony A900 et du Canon 5d mk II, il va falloir que Canon revoir sa politique tarifaire autour de ce gros pro.
Enfin Canon fait son annonce
mardi 16 septembre 2008
En musée
Rétrospective de Jean Lauzon au Musée populaire de la photographie
Il y a 7 heures
DRUMMONDVILLE — Le Musée populaire de la photographie de Drummondville présente une exposition rétrospective du photographe Jean Lauzon. Intitulée "Ici et là", cette exposition est proposée du mercredi au dimanche, jusqu'au 18 janvier.
Elle regroupe une trentaine d'oeuvres en noir et blanc, essentiellement réalisées dans des pays européens, avec quelques images choisies parmi son travail photographique personnel effectué en sol québécois. La plus ancienne image exposée a été réalisée en 1971 et les plus récentes de 2006. Un catalogue de 36 pages a été publié pour l'occasion.
Crédit: Presse Canadienne
Dans l'introduction à cette exposition, l'historien de l'art Normand Blanchette signale que les photos de Jean Lauzon révèlent un attrait pour le dépaysement et une forme de beauté secrète des gens et des choses, celle que l'usure du quotidien n'aurait pas encore atteinte.
Pour le photographe, il s'agit d'une première exposition depuis nombre d'années à Drummondville où il oeuvre par ailleurs à titre d'intervenant culturel depuis plusieurs décennies.
Utilisation du RAW
lundi 15 septembre 2008
La photo pour tous le monde
Zheng Longhua, photographe
"Ca m'a pris plusieurs mois pour réussir à tenir l'appareil de manière stable. Puis j'ai appris comment ajuster la longueur focale, comment actionner l'obturateur, et comment changer le film."
Depuis 2005, les photos de Zheng Longhua ont pour sujet principal la vie des personnes handicapées.
"Il faut que les gens fassent preuve de davantage d'attention envers les personnes handicapées et cherchent à créer un environnement favorable. Les handicapés devraient avoir un statut équivalent aux personnes valides."
Pour Zheng Longhua "Un monde unique, un rêve commun" n'est pas seulement le slogan des Jeux olympiques. C'est aussi son souhait le plus cher pour toutes les personnes handicapées.
Xia Ziyu, CCTV
Information carte graphique (PhotoShop CS4)
Quelle carte graphique pour Photoshop CS4 ?
par Florian Innocente le 12.09.2008 à 07:42
Suite à ses récentes prestations avec Photoshop CS4 où il fait l'article pour de nouveaux effets et la manipulation de très lourdes photos, John Nack le responsable produit du logiciel chez Adobe en dit (un peu) plus sur la configuration graphique nécessaire.
Rien de spectaculaire a priori, il conseille d'avoir une carte disposant d'au moins 128 Mo (compatible Shader Model 3.0 et OpenGL 2.0) et 512 Mo pour faire face à des situations impliquant de nombreux gros documents et de la 3D.
Il souligne, à titre personnel, avoir utilisé le logiciel et sa fameuse image giga pixel sur un MacBook Pro vieux de deux ans avec une carte ATI Radeon 1600/256, et ce, sans problèmes. Point de détail en revanche sur les autres caractéristiques, il faudra attendre le 23 septembre.
par Florian Innocente le 12.09.2008 à 07:42
Rien de spectaculaire a priori, il conseille d'avoir une carte disposant d'au moins 128 Mo (compatible Shader Model 3.0 et OpenGL 2.0) et 512 Mo pour faire face à des situations impliquant de nombreux gros documents et de la 3D.
Il souligne, à titre personnel, avoir utilisé le logiciel et sa fameuse image giga pixel sur un MacBook Pro vieux de deux ans avec une carte ATI Radeon 1600/256, et ce, sans problèmes. Point de détail en revanche sur les autres caractéristiques, il faudra attendre le 23 septembre.
Zeiss dans le monde de Canon
La gamme d'objectifs Zeiss ZE sera donc désormais disponible en monture Canon EF. Idéal pour une utilisation sur un reflex Canon aussi bien numérique qu'argentique, cette nouvelle gamme va offrir encore un peu plus de choix en objectifs aux possesseurs de reflex Canon EOS. 100% compatibles, les objectifs Zeiss à monture Canon EF transmettent toutes les informations au boîtier par les contacts électroniques. Ainsi, pas de soucis pour une utilisation en mode priorité ouverture par exemple et on retrouvera bien les données de l'objectifs dans les données EXIF des photos. Même la compatibilité E-TTL est assurée.
La gamme Zeiss ZE pour Canon commence avec le Planar T*1,4/50 ZE et le Planar T* 1,4/85 qu seront disponibles d'ici la fin de l'année 2008. Par la suite viendront de nouvelles focales. Les deux modèles seront lancés à respectivement 579 et 999 Euros TTC.
samedi 13 septembre 2008
Autre facon de voir
Le photojournalisme, une façon de voir, par Franck Nouchi
Al'heure où le secteur connaît des difficultés, la publication par l'hebdomadaire "Paris Match" d'un reportage sur les talibans a créé une polémique.
Malaise dans le petit monde des reporters de guerre. Il aura suffi de la publication par Paris Match le 3 septembre de quelques photos de combattants talibans affirmant avoir abattu dix soldats français le 18 août en Afghanistan pour que naisse une bien curieuse polémique sur le fait, pour un journal, de montrer et de donner la parole à des ennemis de la France.
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Outre l'habituelle critique faite à Match de sombrer dans le "voyeurisme" (aucun corps de soldat français n'apparaît sur les photos de Véronique de la Viguerie), c'est surtout d'avoir valorisé l'image des talibans qui est reproché à l'hebdomadaire. En d'autres termes, en publiant de telles photos, Matchles aurait aidés à marquer des points dans la"guerre des images" (Jean-Louis Georgelin, chef d'état-major des armées) et dans la"guerre de la communication" (Hervé Morin, ministre de la défense) qu'ils mènent contre les puissances étrangères militairement présentes sur le sol afghan.
On pourrait longtemps discuter de la mise en scène du reportage de Match (on ne comprend pas très bien en particulier si les deux reporters ont rencontré les talibans ou si seule la photographe a pu les approcher); en revanche, le débat sur le fait de savoir s'il est ou non légitime de photographier et de donner la parole aux talibans nous semble pour le coup d'un autre âge.
Comment ne pas rapprocher ces critiques du ministre de la défense et du haut état-major de la manière dont les responsables américains ont "encadré" la presse internationale, américaine en particulier, lors du conflit irakien? Veut-on à tout prix généraliser le concept de journaliste "embedded [embarqué] à tous les conflits auxquels participent les forces armées de l'OTAN?
Un autre reportage, diffusé la semaine dernière sur France 2 dans l'émission "Envoyé spécial", et à juste titre encensé par les chroniqueurs télé de la presse écrite, a d'une certaine manière clos ce débat. Il s'agissait d'un "Carnet de route" en Géorgie et en Ossétie du Sud de la journaliste Manon Loiseau et du cameraman Laurent Stoop. Mieux que toutes les analyses, il montrait la réalité quotidienne épouvantable de ce conflit aux enjeux considérables. Tout le monde avait la parole, ces vieilles femmes géorgiennes rescapées des atrocités perpétrées par les miliciens ossètes, mais aussi les soldats russes et, justement, les miliciens ossètes. C'est en voyant et en écoutant ces derniers ("Les Géorgiens vont payer. On est venu se venger. On ira jusqu'à Tbilissi pour les pénétrer par le feu") que l'on comprenait le mieux la sauvagerie de ce qui s'était passé.
Crise du photojournalisme et du reportage de guerre il y a, mais elle n'est pas ce qu'en disent les responsables politiques et militaires français. Tout au contraire. Fini le temps des grands photographes de guerre indépendants publiés dans toute la presse mondiale. "Aujourd'hui", expliquait la semaine dernière dans Télérama Christian Caujolle, le fondateur de l'agence photographique VU, "on est revenu à l'illustration, et on sombre parfois dans la communication cynique. Lorsque Sarkozy fournit lors de la campagne présidentielle ses propres images à la télé, on tombe carrément dans la propagande".
"La photographie est, avant tout, une façon de voir. Ce n'est pas, en soi, voir", écrivait Susan Sontag. Au milieu du flot ininterrompu d'images qui nous submergent, nous avons, aujourd'hui plus que jamais, besoin de cette "façon de voir" des photojournalistes.
Petite poésie
La douleur est le plus sûr moyen de se situer dans l'espace temps, elle rassure. Je me touche la gorge, pris de nausée : je suis bloqué là, en deux mille deux.
Mais rien n'existe dans l'absolu, ma gorge n'est pas réelle. La photographie me l'a appris. Tout est toujours une question de point de vue, d'ouverture ; de mise en lumière.
La vie est une photographie de carte postale que nous tenons pour vraie : j'ai mal à l'Amour.
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vendredi 12 septembre 2008
La Chine histoire de la photographie
China : Portrait of a Country
C’est après une longue marche que la Chine entre en 1949 dans la modernité. Les éditions Taschen proposent, dans cet imposant volume mis en images par le photographe Liu Heung Shing, une histoire visuelle de la république populaire, de sa création aux Jeux Olympiques. C’est aussi une esquisse de l’histoire récente de la photographie chinoise.
Au cours des trois décennies suivant la révolution conduite par Mao Tse Tong, la photographie chinoise célèbre la nouvelle ère. Qu’il s’agisse des photographies d’un Mao intime par Hou Bo, des paysans par Ru Suichu, des ouvriers par Xiao Zhuang ou les couvertures de l’illustré China Pictorial, on a partout affaire à une esthétique apologétique et finalement très idéologique. Ces images marquées par le « réalisme socialiste » montrent un peuple heureux aux champs comme à l’usine, vantent l’exemplarité de telle localité, tel stakhanoviste du moment, tel chantier pharaonique. La clameur, la passion, le fracas et l’outrance des révolutions se lisent dans ces photographies, allant jusqu’au délire hystérique durant la Révolution culturelle. C’est ce dont témoigne le travail bien connu de Li Zhensheng [1] partiellement repris ici. Jiang Shaowu quant à lui propose en une image une vision synthétique de la période : deux hommes dans une position humiliante au fond d’un trou, sont cernés de squelettes humains, tandis qu’une foule brandit le « petit livre rouge ». La violence intense et sourde qui se dégage de ces photographies leur confère une force sidérante en contradiction avec les visées propagandistes alors assignées à la production photographique.
Humanisme
Dans les années 80, à l’arrivée au pouvoir de Deng Xiaoping, la situation s’apaise et se normalise. La photographie, peu à peu démobilisée, se recentre sur des sujets plus anecdotiques, sentimentalistes et naïfs. C’est l’époque de la Société d’Avril, créée en 1979 autour de Wang Zhiping, et dont Wu Jialin, surtout connu pour son travail sur le Yunnan, perpétue l’esprit. Cette photographie formellement proche de l’humanisme a moins l’ambition de documenter que de faire de belles images. Il faudra en fait attendre la décennie suivante pour qu’apparaisse une photographie plus mature, plus audacieuse et ambitieuse et parfois plus sombre (le sang a coulé Place Tien An Men).
La fameuse revue, underground et confidentielle, NewPhoto est emblématique du tournant pris alors. Fondée en 1996 par RongRong et Liu Zheng [2], elle est malheureusement trop peu représentée dans l’ouvrage au regard de son importance dans l’évolution de la photographie chinoise contemporaine. Elle avait pour ambition d’offrir un espace d’expression en marge des circuits officiels. S’y mélangeaient une photographie documentaire (Zheng Guogu, série Yangjiang Youth), journalistique (Jin Yongquan) et artistique ( An Hong [3], Guan Ce).
Contexte
Ambitionnant de dresser un portrait plus « sociologique » de la Chine, le livre préfère présenter une photographie oscillant entre document et journalisme. On retiendra par exemple, les panoramiques de Zeng Nian sur le barrage des trois gorges, les images ethnographiques du Tibet par Feng Jiao - rappellant celles du photographe des années 30, Zhuang Xueben – les portraits de la minorité Yi par Li Lang, la condition ouvrière décrite par Lu Guang ou encore le beau travail de Hu Yang sur les habitants de Shangaï (série Shangai Family). Ce dernier sujet, des Shangaïens photographiés à leur domicile, évoque une société urbaine socialement contrastée et dont les standards de vie nous sont familiers. Laissant ainsi entendre combien la Chine s’est modernisée.
Deux textes ouvrent le livre. Le premier donne le contexte historique des images, alors que le second est une introduction à la photographie chinoise. Enfin, les notices biographiques de chacun des 88 photographes montrés, finissent de faire de China une somme conséquente pour qui s’intéresse à la photographie et à l’histoire récente de la Chine.
[1] Exposé à Paris, Hôtel de Sully, en 2003 et publié chez Phaïdon
[2] Sa série la plus célèbre, The Chinese, fut présentée à Arles en 2003 et éditée chez Steidl
[3] Montré à la biennale de Lyon en 1997
Informations pratiques, notation et achat :
China, Portrait of a Country Editeur : Taschen Format : Relié 25 x 34 cm 424 pages ISBN : 978-3-8365-0569-7 Prix : 40 euros |
En savoir plus sur :
- Liu HEUNG SHING Auteur
- Taschen Editeur
jeudi 11 septembre 2008
Kodak et l'évolution de la pellicule
mardi 9 septembre 2008
Voyage pour réaliser de la photo
Voyage photo
Spécialisée dans le Voyage Photo, Aguila précède l'automne de quelques semaines avec une série de week-ends pour découvrir la France avec le regard et la curiosité du photographe !
Pour les amateurs de destinations plus lointaines, Aguila propose des voyages photo inédits au Vietnam, en Patagonie ou en Tanzanie, mais pour des budgets beaucoup moins accessibles (3395 € les douze jours).
En petits groupes de 3 à 10 participants, les voyageurs sont encadrés par un photographe qui partage ses techniques de photo de terrain et fait bénéficier de son expérience pour vous amener sur les plus beaux sites aux meilleurs moments.
Les tarifs sont donnés en pension complète, transport aérien compris depuis Paris pour le Vietnam et la Patagonie. Pour en savoir plus : 04 67 13 22 32 oucontact@aguila-voyages.com
Photographe de guerre
Annonce probable de Sony
La sortie du Sony A900 (Alpha 900) semble approcher
Cela fait plusieurs jours que, pour prépaprer la Photokina, cela commence à filtrer notamment par des photos de l'appareil en sortie, le Sony A900 (Alpha 900) semble "pointer le bout de ses objectifs":
Par ailleurs, une page de pub a été récupérée tandis que des sites asiatiques commenceraient à mettre des pages de prévente / précommande :
http://www.rayi.cn/act1/sony_a900/index.html
On savait que Sony voulait frapper fort, principalement par le prix : les spéculations font se situer ce prix entre 2000 et 2500 euros... Si le capteur de ce Alpha 900 est bien un 24 MP, cela voudra dire que Sony fait chuter le prix du pixel.
Evidemment il faudra continuer à se demander de quelle quualité de pixel on parle, et là seuls les premiers test du futur Alpha Full Frame permttront de trancher.
Recherche de photographes
Le musée de la photo recherche des photographes centricois
par Maxime RiouxVoir tous les articles de Maxime Rioux
Article mis en ligne le 8 septembre 2008 à 9:24
Soyez le premier à commenter cet article
Il est possible de téléphoner au Musée de la photo en composant le 819 474-5782, du mercredi au dimanche, en après-midi.
Il est aussi possible d'envoyer un courriel à Mme Mathieu, à l'adresse marielaine_mathieu@yahoo.ca.
Cette recherche, rendue possible grâce à une double contribution financière de la Ville de Drummondville et du ministère de la Culture, est la première du genre visant à retracer et à regrouper les noms des photographes et des studios du Centre-du-Québec, les genres de photographies réalisées ainsi que leur fortune critique, c'est-à-dire leur histoire à proprement parler.