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vendredi 28 novembre 2008
Photo de nuit
mardi 25 novembre 2008
Hasselblad 50 mégapixels
Hasselblad H3DII-50 : 50 mégapixels, et oui ! | |
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lundi 24 novembre 2008
Ancien procédé
La valeur de votre prochaine photo dans le futur
La photographie à l´épreuve de la crise [nov. 08]
Face à la crise, les résultats affichés par les derniers clichés de la dispersion de la collection Jammes le 15 novembre chez Christie´s sont mesurés, non alarmants. Le prix des clichés anciens résiste. La photographie moderne et contemporaine souffre davantage. Le marché de la photographie fut, toutes époques et médiums confondus, le plus dynamique de la dernière décennie. Depuis la dernière bulle spéculative du marché de l´art en 1990, la progression de l´indice des prix de la photographie affichait une hausse de +131% l´été dernier, contre +55% pour la sculpture, deuxième médium le plus apprécié sur cette période.
La dispersion de la collection Jammes de Marie-Thérèse et André Jammes a véritablement sorti de l´ombre la photographie du XIXème siècle. Cette dispersion a débuté en 1999 chez Sotheby´s, se poursuivant en 2002 avec deux nouvelles ventes, pour s´achever en 2008 chez le même auctioneer. En 1999, quelques enchères spectaculaires ont généré une véritable secousse et une hausse des prix de +191% en deux ans. L´adjudication de la Grande vague, Sète de Gustave LE GRAY (1820-1884) est restée dans les mémoires : l´épreuve décuplait son estimation pour une enchère gagnante de 460 000 £, un sommet avec lequel il n´a jamais renoué. Depuis, le meilleur score décroché pour un tirage albuminé de cette même Grande Vague culmine à 85 000 £.
Lors du dernier volet de la dispersion Jammes le 15 novembre dernier, Sotheby´s annonçait en couverture de catalogue un rarissime daguerréotype de Baron Jean-Baptiste GROS. Il fut frappé à 180 000 €. Un score certes attendu, qui n´excède pas son estimation mais qui déclasse tout de même de 90 000 € son précédent sommet. Portée par la qualité des pièces et une provenance historique, la vente affiche un bilan plutôt positif avec 27,4% d´invendus seulement. Un taux qui n´a rien d´alarmant au regard des 42% de clichés ravalés sur les autres ventes de photographies, toutes périodes de création confondues, d´octobre et de novembre 2008 (taux enregistré au 12 novembre).
Les ventes d´octobre faisaient la part belle aux clichés modernes et contemporains plutôt qu´à la photographie historique. Les enchères à 5 chiffres sont bien plus fréquentes sur les clichés du XXème siècle. Quelques stars de l´art actuel ont même poussé la photographie sur des sommets millionnaires. Rappelons les 3 millions de dollars décrochés par le cliché de Cowboy de Richard PRINCE chez Sotheby´s NY en novembre 2007.
Lors des ventes new-yorkaises dédiées à la photographie, les signatures les plus cotées ont essuyé le plus gros revers. Plus de la moitié des œuvres dont on attendait au moins 100 000 $ ne se sont pas vendues. Chez Christie´s par exemple, 53% des clichés proposés au Rockfeller Plaza le 14 octobre leur sont restés sur les bras…Vidéo avec Canon 5D
Attention attention
Sur internet on trouve parfois certaines cartes mémoire de 30 à 50% moins chères que les principaux concurrents. Méfiez vous car il n'est pas rare de se retrouver avec des contrefaçons. Comment les reconnaître ? Les emballages se ressemblent fortement, ce n'est pas évident à reconnaître. Si vous l'avez commandé sur internet, ces magasins sont souvent à l'étranger et il vous sera difficile de les retourner pour obtenir un remboursement. Vous remarquerez très vite une différence assez importante de vitesse de carte, les contrefaçons sont souvent beaucoup moins rapides. La plupart des plaintes viennent de magasins sur Ebay. Un conseil, achetez dans un magasin que vous connaissez bien.
Si le sujet vous pouvez lire un article très complet (en anglais) sur le très bon site Camera Dojo où son auteur compare l'aspect des vrais et fausses cartes, leur vitesse...
- L'article sur le site Camera Dojo (en anglais)
- Une article sur une saisie de fausses cartes Sandisk sur PC Impact (en français)
vendredi 21 novembre 2008
Expoaition à Québec
mardi 18 novembre 2008
Photos de LIFE sur Google
Nous sommes pas en reste!!!
Questions
Les débuts de la photo couleur
En fait je crois que le sujet est aussi un élément dans notre choix...
La progression photographique
samedi 15 novembre 2008
Lee Miller
Le puzzle Lee Miller
Photo. Au Jeu de Paume, une rétrospective des travaux surréalistes de l’artiste américaine qui fut l’élève et le modèle de Man Ray.
Geneviève Fraisse
AUTOPORTRAIT, 1932. © Lee Miller Archives, England 2008. (Lee Miller Archives, England 2008.)
L’Art de Lee Miller Jeu de Paume, 1, place de la Concorde, 75008. Jusqu’au 4 janvier. Rens. : 01 47 03 12 50.
On nous dit que Lee Miller, dont l’œuvre photographique est exposée au Jeu de Paume, choisit toutes les postures ; elle est modèle et artiste, mannequin et photographe, assistante de Man Ray et icône du surréalisme, image de papier glacé et correspondante de guerre à l’ouverture des camps de concentration, dans la revue américaine Vogue notamment. On parle des vies - pluriel obligé - de Lee Miller… Au même moment, un acteur, cinéaste, artiste, etc., Denis Hopper, est exposé à la Cinémathèque française. On dit de lui, je l’entends à la radio, qu’étant devant et derrière la caméra, il est un «artiste complet».
Destin. Ainsi la pluralité des postures pour la femme artiste d’un côté, la complétude de l’homme créateur de l’autre ; le pluriel pour elle, l’unité pour lui. Pourquoi en être surpris ? Je note qu’aujourd’hui encore le mot de muse persiste souvent pour qualifier Lee Miller. Envers celle qui choisit toujours l’aventure avant l’amour, la singularité de l’expérience avant la relation créatrice, et dont on peut voir les photos d’Egypte, de Roumanie ou de l’Allemagne vaincue, le mot est déplacé - ou ironique ? L’histoire est pourtant simple : lorsque la femme sortit de son immémoriel destin de muse, inspiratrice du génie créateur masculin, le désordre s’installa : on pouvait être muse et génie à la fois, ou tour à tour ; vertige de l’artiste femme qui s’émancipe de la tradition… Lee Miller aurait eu la connaissance diffuse de la querelle des poètes qui, à la fin de la Révolution française, se traduisait par un péremptoire : «Inspirez, mais n’écrivez pas !» Elle aurait répondu, comme à l’époque Constance de Salm, qu’elle était pour le partage des jouissances. Anaïs Nin résumera ainsi les choses : à être regardée, on peut avoir envie de regarder à son tour.
Subversion. Lee Miller pose nue pour son père, puis pour Man Ray, entre autres. Ensuite, elle n’a jamais pensé se suffire de ce rôle d’inspiratrice éblouissante, de muse consentante ; elle choisit d’être l’élève, l’assistante, de Man Ray ; et alors ? Elle ne reste pas une seconde dans l’ombre, elle est immédiatement photographe ; et brillamment, de Paris à New York… Mais encore ? Cette femme est un puzzle, c’est écrit à l’entrée de l’exposition. On parle toujours d’un puzzle pour l’éparpillement de ses morceaux, non pour le dessin d’ensemble.
Et si elle avait eu des raisons de laisser en pièces son histoire de créatrice ? De se contenter d’explorer les possibilités, entre tradition et subversion ? Cette photo de profil - ce qu’elle préfère, son profil, dit le fils - où elle est le modèle et le photographe, où elle fait ainsi la couverture d’un magazine, cet autoportrait m’impressionne, et pas seulement pour son incroyable beauté.
Sublimation. L’autoportrait du peintre de jadis correspondait à un moment de retour sur soi ; on gagnait sa vie en peignant les autres, les puissants, et l’on se réfléchissait comme peintre, dans la discrétion de l’atelier ; ici, l’autoportrait est source de financement, il permet de gagner de l’argent. C’est là que Lee Miller est une image importante : elle devient à la fois le sujet et l’objet, l’artiste et le tableau, la photographe et la photographie. Elle se paie ainsi ; elle vit avec ça. Au même moment, certaines femmes font de l’autoportrait une recherche essentielle - je pense à Claude Cahun qui ne cesse de travailler son visage. Se représenter, c’est s’approprier la création artistique, jusqu’ici réservée aux hommes. Pour Lee Miller, c’est une expérience parmi d’autres. Car Lee Miller ne s’attarde pas sur cette double ou triple position : modèle, artiste, artiste qui se prend pour modèle pour mieux se vendre. Elle est déjà ailleurs, c’est-à-dire aux extrêmes de l’histoire du XXe siècle : photographier l’éclat de la mode, photographier les ruines de guerre. Du plus futile au plus grave.
Pourquoi nous dit-on qu’elle fut violée à l’âge de 7 ans par le fils d’une famille amie? Une souffrance d’enfance comme cause de la sublimation artistique ? Un traumatisme sexuel comme échappée hors de l’histoire classique des femmes ? Aurait-on ce souci historiographique pour le parcours d’un créateur masculin ? Non, sans doute. Reste la photographe, celle du Portrait de l’espace, trou dans une toile tissée, ouvrant sur un large paysage nu, avec un cadre de miroir joint à cette déchirure : Lee Miller nous offre des cadrages, des lignes de lumière, des ombres géométriques, bref tout ce qui permet un regard sur les lignes signifiantes du monde.
vendredi 14 novembre 2008
Les insectes
dimanche 9 novembre 2008
Montréalais honoré
Le Prix Pictet à un photographe de Montréal
Le Prix Pictet pour la meilleure photographie de l’année, associé à une bourse de 94 000$ a été remporté par Benoît Aquin, un photographe de Montréal.
Le 30 octobre dernier, à Paris, Benoît Aquin a reçu son prix des mains de l’ancien secrétaire général de l’ONU, Kofi Annan.
Les photos de Benoît Aquin présentaient la désertification en Chine. Les textes accompagnant les photos sont signés par Patrick Alleyn.
Patrick Alleyn avant son départ pour l’Asie était journaliste plein temps pour Reflet de Société. Benoît Aquin et Patrick Alleyn sont partis ensemble pour l’Asie, un voyage qui n’est toujours pas terminé.
Les premiers articles de Patrick Alleyn provenant de l’Asie et publié dans Reflet de Société étaient accompagnés des photos de Benoît Aquin et avaient déjà été récompensées au Prix Lux photo.
Les détails du prix Pictet reçu par Benoît Aquin.
L’équipe de Reflet de Société est fière du travail réalisé par Benoît Aquin et Patrick Alleyn et de la reconnaissance internationale qu’ils se méritent. Félicitations à vous deux pour votre magnifique travail.
vendredi 7 novembre 2008
Des photographies à partir de pots de peinture
par Jessy LaflammeVoir tous les articles de Jessy Laflamme
Article mis en ligne le 6 novembre 2008 à 17:26
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Les participants de l’AFSPN ont effectué de la photographie avec un minimum de matériel, et ont fabriqué des appareils photographiques appelés caméra obscura avec des objets recyclés. «Ils ont même développé les photos dans une chambre noire spécialement aménagée pour le projet», a indiqué le coordonnateur de cet événement, Dominic Rozon.
Les photos sont exposées au Centre d’Action Culturelle tout le mois de novembre.
Nouvelle
La Nouvelle Photographie en France 1920-1940
Dès le début des années 1920, Paris s’affirme comme nouveau lieu de promotion des avant-gardes et sans aucun doute, comme carrefour de la nouvelle photographie en Europe. Si la capitale française devient à l’époque ce lieu de rencontres et d’échanges pour des photographes de nationalités et d’horizons divers, c’est parce qu’elle représente alors un modèle de modernité et un espoir économique au lendemain de la Première Guerre mondiale. Mais c’est aussi et parce qu’elle s’avère être aux yeux de nombreux émigrants contraints à l’exil, un lieu de refuge pour les libertés politiques ou confessionnelles.
La photographie en France connaît ainsi une période de rayonnements individuels et collectifs. Les photographes français comme Jacques-André Boiffard, Florence Henri, Maurice Tabard, Roger Schall, Henri Cartier-Bresson, Emmanuel Sougez, Pierre Boucher et René Zuber parmi de nombreux autres, côtoient des artistes étrangers devenus parisiens par affinité ou par la force des évènements. Citons les Allemands Germaine Krull, Erwin Blumenfeld, Marianne Breslauer, Ilse Bing, les Hongrois Ergy Landau, André Kertész, Rogi André, André Steiner, François Kollar, Gisèle Freund ou Brassaï, les Russes Hoyningen-Huene, Rudomine, les Américains Man Ray et Berenice Abbott, le Belge Raoul Ubac ainsi que le Lituanien Moses Vorobeichic dit Moï Ver, etc. Longue est la liste de ces photographes-artistes, bien souvent en double rupture : expatriés rompant avec un pays, artistes d’avant-garde rompant avec une tradition.
Serait-il exagéré de parler d’une École de Paris photographique pour rallier sous un même terme générique une production issue de références et de pratiques diverses ? C’est cette France de l’entre-deux-guerres, ce foyer de création où se côtoient une multitude d’écoles photographiques, qui caractérisent pour l’essentiel l’exceptionnelle collection réunie par l’historien et collectionneur Christian Bouqueret. Auteur de nombreux ouvrages thématiques consacrés à l’histoire de la photographie tels que Des années folles aux années noires, la nouvelle vision en France, Histoire de la photographie en images et d’ouvrages monographiques sur Laure Albin-Guillot, Raoul Ubac, Germaine Krull, Roger Parry, René Zuber, Jean Moral...
Ce projet, la première exposition d’une telle ampleur sur cette période charnière, rassemble une sélection de plus 200 vintages d’une quarantaine de photographes ayant travaillés à Paris entre 1920 et 1939 ainsi que plusieurs documents originaux (revues, livres). Elle propose un regard érudit et passionné sur la richesse formelle de cette Nouvelle Vision photographique en France.
Informations pratiques :
La Nouvelle Photographie en France 1920-1940Exposition collective - Collection de Christian Bouqueret
Du 11 novembre 2008 au 01 février 2009
Jeu de Paume, Hôtel Sully, Paris 4ème
Entrée libre
Une note de 9 sur 10
mercredi 5 novembre 2008
Prix
Catherine Bodmer, de Montréal, obtient un prix du Conseil des arts
Il y a 18 heures
OTTAWA — Catherine Bodmer, une artiste qui travaille à Montréal, a remporté mardi le Prix du duc et de la duchesse d'York en photographie du Conseil des arts du Canada pour 2008.
Elle a été sélectionnée pour ses images de lieux réels et imaginaires, qui remettent en question la position de l'individu dans un paysage urbain, a fait savoir le communiqué du Conseil des arts, mardi.
En entrevue téléphonique, Mme Bodmer a dit accueillir la nouvelle comme un encouragement à poursuivre son travail.
Le Prix du duc et de la duchesse d'York a été créé par le gouvernement du Canada en 1986. D'une valeur de 8000 $, il est octroyé au meilleur artiste professionnel en photographie ayant obtenu une subvention de projet du Conseil des Arts en 2008 et s'étant particulièrement distingué pour la qualité de son travail. Le prix est attribué en sus de la subvention.
Catherine Bodmer, d'origine suisse, détient un diplôme de l'École des Beaux-arts de Lucerne en Suisse, et a obtenu une maîtrise en arts plastiques de l'Université du Québec à Montréal en 1999. Depuis 2004, elle est la coordonnatrice artistique du centre d'artistes Articule à Montréal. Sa pratique artistique comprend des installations, des oeuvres in situ et des photographies.
mardi 4 novembre 2008
Tutoriels gratuits
35 tutorials gratuits sous Photoshop inspired by Apple
Par Gaëlle, jeudi 30 octobre 2008 à 08:10
Ressources Gratuites :: #2039 :: rss
Si vous avez toujours rêvé d’apprendre à recréer certains effets des publicités d’Apple, vous allez être ravis.
En effet, le blog VandelayDesign met à disposition pas moins de 35 tutorials gratuits sous Photoshop, piochés ici et là sur Internet.
La plupart sont en version écrite mais certains sont proposés en vidéo.
Pour plus de détails, rendez-vous ici.
dimanche 2 novembre 2008
Musée pour la photographie
Jean Lauzon : l’homme derrière le Musée populaire de la photographie
Article mis en ligne le 1 novembre 2008 à 19:17Soyez le premier à commenter cet article
«Je suis très heureux de me retrouver en nomination pour une deuxième année consécutive dans la catégorie personnalité de l’année. Je considère cet honneur comme une marque de reconnaissance de l’industrie ainsi qu’une belle forme de solidarité et de complicité envers les activités du Musée. Pour moi, il s’agit d’une preuve tangible que le développement de la culture est un facteur de premier plan à Drummondville», a confié cet artiste passionné.
Photo d'un Montréalais
Un photographe québécois gagne 103 000$ en prix pour une photo
Il y a 2 jours
PARIS — Un photographe originaire de Montréal a remporté le Prix Picter, qui souligne l'excellence des photographes oeuvrant pour la cause environnementale.
Après la cérémonie tenue jeudi soir à Paris, Benoit Aquin est rentré à la maison avec la modique somme de 103 000$, la plus grosse bourse offerte pour un prix de photographie.
Intitulé "The Chinese Dust Bowl", son travail illustre comment les terres fertiles du nord de la Chine ont été transformées en désert aride. Le thème du concours était "l'eau".
"Le Prix Pictet reconnaît la photographie environnementale à la fois comme un sujet pour le photojournalisme mais également du point de vue artistique, et cela, en favorisant la rencontre des deux disciplines dans une compétition qui explore la globalité des enjeux environnementaux importants", a déclaré M. Aquin en acceptant le prix qu'il a qualifié "de vrai honneur".
L'ex-secrétaire général des Nations Unies, Kofi Annan, qui a annoncé le gagnant, a affirmé que chacun des finalistes avait réussi à créer des images puissantes.
"J'espère que le Prix Pictet va aider à comprendre davantage les changements qui prennent place dans notre monde et que cela va augmenter l'attention du public afin qu'il saisisse l'urgence d'entreprendre des actions préventives", a affirmé M. Annan.
Pour sa première édition, le Prix Pictet, parrainé par la banque suisse Pictet et Cie, comptait 200 nominations en provenance de 43 pays. Dix-huit d'entre elles sont passés en finale.
Deux autres Canadiens se sont passés en finale: Edward Burtynsky de St. Catharines en Ontario et e Robert Polidori, de Montréal. Le travail des dix-huit finalistes sera exposé à Paris avant de s'envoler pour une tournée mondiale.