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mercredi 25 février 2009

Papillon

 

 

Photos prisent au Jardin Botanique de Montréal le 24 février dernier.
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Visite Jardin Botanique

 
Voici une première photo de ma visite au Jardin Botanique. D'autres photos suivront aujourd'hui ou demain.
Merci de vos commentaires.
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lundi 23 février 2009

Nouveauté chez Can

Canon ajoute le Raw au SX1 IS

Franck Mée
21 février 2009 10:23



La nouvelle intéressante de la semaine est tombée hier soir, cachée au milieu d'un lot de communiqués de presse nous rappelant les nouveautés de mercredi : le bridge Canon PowerShot SX1 IS deviendra capable de photographier en Raw.

Pour rappel, un fichier «Raw» (brut, cru en anglais) contient les données directement enregistrées par le capteur. Contrairement à un Jpg, ce n'est pas une image ; un fichier Raw doit être interprété pour fournir une image -- on dit «développer un Raw», par analogie avec l'argentique, le Raw étant souvent comparé au négatif et le Jpg à la diapositive.

L'avantage de faire ce développement a posteriori, sur l'ordinateur, plutôt que dans l'appareil est multiple : d'une part, on peut ainsi profiter de la puissance de calcul de l'ordinateur pour affiner le traitement d'image, notamment la gestion du bruit ; d'autre part, il est possible de reprendre les réglages de l'appareil à volonté, et donc de corriger notamment la balance des blancs ; enfin, les données brutes sont plus fines que celles d'un Jpg et il est possible de récupérer des détails dans les hautes et basses lumières pour éviter les ciels blancs et les ombres noires.

Bien entendu, un «laboratoire numérique» -- en fait un logiciel spécialisé -- est nécessaire pour faire cette interprétation. Canon proposera donc aux propriétaires de SX1 IS de télécharger Digital Photo Pro, son propre «dérawtiseur», capable de développer un fichier Raw pour en faire une image. Celui-ci est traditionnellement livré avec les reflex de la marque et, sans atteindre le niveau de logiciels spécialisés comme Camera RAW d'Adobe (inclus dans Photoshop et Lightroom, eux-mêmes payants), il remplit correctement son office.

La mauvaise nouvelle, maintenant : il faudra attendre la mi-mars pour que le nouveau firmware permettant au SX1 IS de faire du Raw soit disponible. Nous espérons bien entendu pouvoir reprendre un SX1 IS en essai à ce moment pour mettre à jour notre test.

> Notre test du Canon SX1 IS

Lit de rivière

 

Le retour de la promenade!!!
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En marchand

 

La neige est de toute beauté. Blanche, texturée, mais éphémère. En juin, un cour d'eau remplacera cette neige.

Entre Val-Morin et Val-David.
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Val-Morin

 
Fin semaine du 21 février entre Val-Morin et Val-David.
La température idéale pour une marche ou du shi sur le parc Linéaire. Moi, j'ai fait de la marche et quelques photos.
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mercredi 18 février 2009

Nouveauté Canon



Attention les yeux, Canon dévoile ici du beau matos ! Deux grands-angles à bascule et décentrement. Les TS-E 24mm f/3,5 L II et le TS-E 17mm f/4 L .

Ces deux optiques sont optimisées pour les prises de vue de paysage et d’architecture. Elles peuvent être pivotée librement sur +/-90°. Le verre bénéficie d'un traitement antireflet.



TS-E 24mm f/3,5 L II
Bascule : +/- 8.5˚
Décentrement : +/-12 mm
Cercle image : 67,2 mm.
Mise au point minimale : 25 cm






TS-E 17mm f/4 L
Bascule : +/6.5˚
Décentrement : +/-12 mm
Cercle image : 67,2 mm.
Mise au point minimale : 25 cm



Canon France
Source Dpreview

Canon nouveaux objectifs

vendredi 13 février 2009

Ski, vidéo et Canon 5D

Quel beau mélange. Pour visionner clic sur le sujet.

Que de belles choses sont réalisées avec Canon.

jeudi 12 février 2009

Carte de balance des blancs

Pour écouter clic sur le titre

Chartes de mesure, chacune sa spécialité


decl-2009-02-02.mp3

Cliquez sur le bouton vert pour écouter l'épisode maintenant.
Pour plus de confort, utilisez iTunes ou abonnez-vous gratuitement.

Depuis que j'ai présenté pour la première fois, en 2006, les cartes grise pour la mesure de la balance des blancs, je sais qu'une certaine confusion existe entre ces cartes et d'autres types de cartes de mesure.

Deux questions, en particulier, reviennent très régulièrement : est-ce qu'on peut également les utiliser pour mesurer l'exposition ? La réponse est non, elles n'ont pas la même luminosité que les célèbres cartes Kodak 18%.

Et, à l'inverse, peut-on utiliser une carte de mesure d'exposition pour la balance des blancs ? La réponse est oui mais elles sont souvent moins robustes et d'un format moins pratique que les cartes dédiées. En outre, le gris, plus sombre, fait une mesure dans une zone où le capteur est (un peu) moins fiable. Dans l'absolu ce n'est pas nécessairement rédhibitoire mais ça contribue aussi à la spécialisation de la carte.

Peu de fabricants proposent les deux produits donc difficile de comparer dans une gamme mais depuis quelques semaines Scuadra, le fabriquant français des TrueColors propose également une carte de mesure d'exposition, l'XpoGray. Ce qui me donne de faire le point et de comparer les deux types de produits avec Emmanuel Lafont.

En préparant l'épisode j'ai noté avec amusement que cette carte est peut-être le sujet que je photographie le plus régulièrement.

Accueillons Arnaud

mercredi 11 février 2009

Exposez au VietNam

Lancement d'un concours de photographie sur le sida
09/02/2009 -- 9:33 PM
L'ambassade des Etats-Unis au Vietnam a annoncé lundi l'organisation, du 15 février au 15 mars prochain, d'un concours de photographie baptisé "Regard sur le VIH" à l'intention des étudiants de Hanoi.

Organisé conjointement par l'ambassade américaine et la Compagnie de communication T&A, ce concours a pour objectif d'améliorer les connaissances des étudiants en la matière et de les encourager par la suite à participer à la prévention comme à la lutte contre le sida.

Les photographes sont invités à traduire avec créativité le courage dont font preuve les personnes infectées par le virus dans leur vie quotidienne ainsi que la façon dont les personnes séropositives et séronégatives se perçoivent mutuellement. Ce afin d'aider à combattre la stigmatisation et la discrimination dont sont victimes les malades. Les oeuvres peuvent également refléter la perception de leurs auteurs sur le VIH et la participation des étudiants aux activités de lutte et de prévention.

Les meilleures photos seront exposées pendant une semaine à la Biliothèque nationale (Hanoi) avant la cérémonie de remise des prix qui devrait avoir lieu début avril dans la capitale. Les informations sur ce concours sont disponibles sur le site http://HIV-photocontest.com .

Depuis 2004, les Etats-Unis ont financé à hauteur de plus de 232 millions de dollars les programmes de prévention et de lutte contre la "maladie du siècle" au Vietnam dans le cadre du Plan présidentiel d'urgence d'aide à la lutte contre le sida (PEPFAR) du gouvernement américain./.

mardi 10 février 2009

Nouveau chez Nikon

Nikon AF-S DX Nikkor 35 mm f/1.8 : un nouvel objectif standard pour format DX

lien permanent • imprimerVolker Gilbert
10 février 2009
Après avoir introduit, il y a quelques mois, un nouvel objectif standard pour ses appareils “full frame” (FX), Nikon se consacre cette fois-ci aux propriétaires d’appareils APS-C (DX).

N’en déplaise à certains, les objectifs à focale variable (Zoom) ne possèdent pas que des avantages : plus lourds, moins lumineux, souvent plus encombrants et dotés de performances optiques moins homogènes, ils incitent également à la fainéantise, puisque de nombreux photographes préfèrent tourner la bague de zooming plutôt que se déplacer pour trouver un cadrage et une composition meilleurs. L’usage d’un objectif standard se révèle on ne peut plus formateur : avec un angle de champ d’environ 47 degrés, il offre un rendu naturel de la perspective, qu’il faut bien maîtriser pour obtenir des photos saisissantes. Mais de nombreux photographes, notamment Henri Cartier-Bresson, ne jurent que par lui, car cette restitution naturelle à part, l’objectif standard offre souvent une luminosité, qualité optique et compacité intéressante.



Nous ne pouvons que saluer le fabricant pour cette initiative bien fondée. Car si les heureux possesseurs d’appareils à capteur “full frame” bénéficient d’une offre cohérente en matière d’objectifs standard (qui sont souvent des vestiges de l’époque argentique…), les possesseurs d’appareils à petit capteur devaient se contenter, soit d’un objectif grand-angle 28 ou 35 mm, “transformés” pour l’occasion en objectif standard, soit d’un des deux objectifs compatibles, le très lumineux Sigma 35 mm f/1.4 ou le spécialiste macro Tokina 35 mm f/2.8. Lumineux (f/1.8), discret (moteur SWM Silent wave), léger (200 g) et compact (acceptant de filtres en diamètre 52 mm), l’objectif AF-S DX Nikkor 35 mm f/1.8 G a tout pour plaire aux reporters photographes, son revêtement multicouche SIC et sa lentille asphérique contribuent sans doute à une qualité optique à la hauteur de leurs attentes. Notons également le pare-soleil HB-46 fourni, le diaphragme à sept lamelles pour améliorer le rendu des zones floues (bokeh) et le tarif, situé à moins de 240 € TTC, ce qui est plutôt raisonnable compte tenu des prestations. Seul ombre au tableau, son appartenance à la famille des objectifs AF-S G, incompatible avec les appareils d’entrée de gamme antérieurs aux Nikon D40, D40x et D60. L’objectif sera distribué dès la mi-mars 2009.

Si seulement Canon pouvait faire de même…

Vous en dite ??

Une photo est un événement

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Une photographie est un événement, un événement mérite photographie, la notion d'événement fait partie de la prise d'image, le désir de mettre en lumière ce qui se passe. Il n'y a pas d'échelle des valeurs des événements, il n'y a surtout pas d'échelle des valeurs, parce que ce qui est signifiant pour l'un peut l'être dans un événement particulier, dans une incidence qui lui est particulière. S'appliquer aux petits et grands événements, parce que l'on ne sait pas lequel sera déterminant ensuite, lequel sera le plus parlant demain.
©Bruno Levy

lundi 9 février 2009

Utilisation RGB ou sRGB

Si je comprends bien sRGB ne doit ètre utilisé que pour l'impression!! Surtout si vous utilisez les service d'un laboratoire, exemple Lozeau.

vendredi 6 février 2009

On fait quoi avec les Reflex???

vendredi 6 février 2009 à 11H03

Vers des caméras de 12 mégapixels dans les téléphones

0501.jpgLe fabricant électronique NEC s'apprête à lancer une puce qui devrait permettre de prendre des photos avec une résolution de 12 mégapixels et de filmer des vidéos en haute définition à l'aide d'un téléphone cellulaire.

La puce LSI (linear shift-invariant) CE143 de NEC, combinée à un capteur CMOS, permet, en plus de prendre des vidéos HD et de prendre des photos de 12 mégapixels, de stabiliser l'image, de corriger les ombrages et de détecter les visages 25 fois plus rapidement qu'avec les puces de NEC présentement sur le marché.

La vitesse pour détecter les visages vient du fait que la nouvelle puce commence à analyser l'image pendant, et non après, la mise au point de la photo.

Il ne faut toutefois pas s'attendre à voir tout de suite arriver en magasin les téléphones utilisant cette puce, puisque NEC enverra les premiers exemplaires à ses partenaires seulement qu'en mars. La compagnie devrait ensuite en produire un million par mois, à compter du mois d'avril.

Rappelons que selon le site Web Unwired View, la compagnie Samsung devrait pour sa part présenter un téléphone muni d'une caméra 12 mégapixels lors du Mobile World Congress de Barcelone

(source: Techon)

par Maxime Johnson

Lightroom possibilité de modification

Lightroom : modifier une seule teinte dans une image

Cyril Bruneau 
05 février 2009
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Lightroom permet d’ajuster globalement la luminosité et la saturation d’une image, mais également d’agir sur une teinte précise. Il suffit de choisir dans l’image la teinte que vous souhaitez modifier et d’indiquer à Lightroom les changements à opérer à l’aide d’un petit curseur. Cette option sera très utile à qui souhaite contrôler les différents réglages d’une photo de manière très rigoureuse, teinte par teinte. Ici, pour rendre le ciel plus présent, vous augmenterez la saturation et diminuerez la luminosité de façon simple et intuitive.

1. Placez-vous dans le module Bibliothèque et sélectionnez l’image que vous souhaitez retoucher. Passez ensuite dans le module Développement en cliquant sur son nom en haut de l‘écran ou en pressant la touche D.

2. Effectuez les différents réglages d’exposition, de luminosité et de contraste. Ouvrez le panneau Réglages de base, situé à droite, et fixez les paramètres suivants :

  • Coloris +3 ;
  • Exposition -0,12 ;
  • Noirs 5 ;
  • Luminosité +52 ;
  • Contraste +41.

3. Pour modifier uniquement la couleur du ciel en vue d’obtenir une teinte bien bleue, ouvrez le panneau TSL/Couleur/Niv. de gris, situé à droite, choisissez l’onglet Saturation et sélectionnez le petit bouton placé en haut à gauche de l’onglet.

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jeudi 5 février 2009

Atelier du club APSL

Atelier du club photo APSL

Hier soir le club APSL tenait une scéance de photo de nature morte. Pour l'occasion un des membres a fournit des caméras d'un autre temps.
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Photographie et sécurité

Sony photographie vos veines

Mercredi 4 février 2009 à 00:10 par David Civera 
Source: Sony – Catégorie : PC portables14 commentaires

Zoom

Sony vient d’annoncer un nouveau système de sécurité se fondant sur une photographie des veines présentes dans le doigt de l’utilisateur.

Plus sûr que les empreintes digitales

Si vous pensez que les technologies de sécurité utilisant les empreintes digitales ne sont pas suffisamment sûres et qu’il est possible de reproduire votre empreinte après que vous ayez touché un verre d’eau, alors cette technologie est faite pour vous.

Mofiria

Plus sérieusement, le dispositif inclut des LED quasi à infrarouge qui viennent illuminer votre doigt. Un capteur CMOS prend ensuite une photo des veines présentes dans votre doigt. Cette technologie nommée Mofiria serait plus rapide. Il suffirait de seulement 0,015 seconde sur un PC et 0,25 seconde sur un téléphone, pour que l’image soit traitée. Selon Sony, le système est aussi plus fiable puisque le doigt n’a pas besoin d’être dans une position précise. Ainsi, les faux négatifs seraient de seulement 0,1 % et les faux positifs de 0,0001 %.

Sony devrait commercialiser sa nouvelle technologie cette année, mais n’a pas encore donné le nom des produits qui l’intègreront.

Histoire de se souvenir

Réflexions capitales sur la photographie

mercredi 4 février 2009, par Benjamin Favier

04/02/2009- Christian Bouqueret est collectionneur et historien. Deux activités complémentaires, comme le prouve l’ouvrage Paris, capitale photographique 1920/1940.

Le titre ne trahit pas l’ensemble du contenu. Paris, capitale photographique, 1920/1940 porte bien sur cette période méconnue de l’entre-deux-guerres, durant laquelle la capitale française devient un espace privilégié d’échanges entre de nombreux photographes de tous pays. Et pas des moindres : Man Ray, Gisèle Freund, André Kertész, Brassaï, Henri Cartier-Bresson… Le livre offre ainsi un foisonnement de clichés pris par ces illustres photographes, mais aussi par des artistes moins connus (120 photographies noir et blanc et en couleur). Ils sont répartis autour de quatre thèmes : Paris, L’Objet, Une autre réalité l’objet et La figure humaine. Les amoureux de Paris et plus particulièrement de cette époque seront aux anges.

L’art de collectionner

Mais il serait dommage de se limiter aux images. Car ce livre pose de vraies questions sur l’usage et notamment la conservation de la photographie à l’ère numérique. Collectionneur et historien, Christian Bouqueret, qui dévoile ici une partie de sa monumentale collection personnelle, livre un témoignage passionnant sur sa propre expérience. Il débute sa collecte dans les années 70. Et se retrouve rapidement face à un dilemme :

« Il y a un moment où apparaissent les faiblesses de l’ensemble ; c’est alors que l’historien prend le pas sur le collectionneur afin de constituer une œuvre en soi, un tout homogène et cohérent où les photos doivent faire sens entre elles. »

Un paradoxe ô combien intéressant. L’assemblage d’objets est une entreprise infiniment personnelle. Mais elle ne prend réellement sens qu’une fois mise à la disposition de la collectivité. L’entretien, brillamment mené par Marta Gili, directrice du Jeu de Paume (musée qui accueillera l’exposition éponyme à partir du 10 février), fait jaillir de nombreuses questions, et nous ramène à une époque où la photographie cherchait à s’affirmer en tant qu’art à part entière. C’était il n’y a pas si longtemps.

- Le livre 
- Paris, capitale photographique 1920/1940 
- Éditions de la Martinière 
- 192 pages 
- 19 x 24 cm 
- 35 €

- L’exposition 
- Paris, capitale photographique 1920/1940 
- Jeu de Paume/Hôtel de Sully 
- du 10 février au 24 mai 2009 
- Voir le site dédié